Popa Chubby

- Accueil - A voir à Rouen - Festivals - Tournées - Événements - Interviews - Derniers Concerts - L'Histoire - Compilations -
- Traces de Passage - Les Chroniqueurs - Contactez nous - Les Incontournables - Les Liens - Hommage -
- Américains - Australiens - Belges - Britanniques - Canadiens - Espagnols - Français - Italiens - Suisses - Yougoslaves -

Dernière Modification le : 16/05/05

  Nom Horowitz
Prénom Ted
Né le 1960
à New york dans le Bronks
   
   
Site d'un fan Par Sampopachubby.ht.st
Site officiel popachubby.com

En bref

 

Il débute la guitare vers 15 ans en reprenant les riffs de Johnny Winter, Jimi Hendrix ou Led Zeppelin.

Chef de file du Blues New Yorkais qui compte entre autres Bill Perry, Steve Johnson ou Tino Gonzalez. On dit de lui qu'il a apporté un nouveau souffle au Blues.

1992 It's Chubby time Popa Chubby    

Popa Chubby Its Chubbys Time.jpg (5898 octets)

Popa Chubby guitare chant
Don Castagno
à la batterie
Michael Merritt basse
Alex T.Mackay basse
Seth Farber claviers
George Laks claviers
Larry Etkin trompette
Anders Gaardmand sax
Pascal Lob (2002)
L'animal signe ici une galette très intéressante. On retrouve six titres de cet album sur the first cuts sorti en 1996. L'album regroupe des versions intéressantes de Stoop down baby ou Sweet goddess of love and beer (que l'on retrouvera sur d'autres albums).
A écouter

Envoyer sur cette galette.

 

1995 Booty and the Beast Popa Chubby Sony   

Popa Chubby Body and the Best.jpg (4070 octets)

Popa Chubby guitare chant
Mike Leslie
basse
Tom Major batterie
Georges Laks claviers
Mitch Wargold piano
Rick Monica percus
Pascal Lob (2002)
C'est avec cet album que j'ai découvert l'animal. Bien que sortant du Blues traditionnel (j'ai trouvé ce disque dans les bacs Hard rock) je l'ai adopté.
Une galette de très grande qualité. Tous les titres son bons, chacun possède un esprit et une âme différente. De Same Old Blues, un morceau lent qui prend une énergie incroyable à Low Down and Dirty très Rock ravageur en passant par Sweat, un Swing torride il faut tout garder.
A avoir
Bruno (2002)
Ne cherchez pas ! Si vous vous êtes connectez sur ce site, vous possèdez obligatoirement ce monument, ou alors courrez vite chez votre disquaire habituel, qui aurait dû avoir ce CD en stock inépuisable dans ses bacs, pour lui flanquer quelques baffes !!! Enfin, quoi ! Le meilleur album de blues-rock des 20 dernières années ! A posséder  plutôt 2 fois qu'une. On ne sait jamais. Un monument
P.S. : Pour sûr, l'influence de Freddy King est flagrante, mais personne n'a accusé Clapton d'avoir pillé ce dernier et Otis Rush
Ne pas oublier Brooklyn basement Blues
Jérome Mad Man (Nov 2002)
Si c’est pas du play back, alors je lui tire mon chapeau. Ce Popa sait vraiment tirer les meilleures ficelles des mailles éclectiques et modernes du blues. Des plus électriques aux plus funkies, il sait faire vibrer les divers languages musicaux. On dirait qu’il nous nargue, l’empafé.
Son Stoop down baby est un affront aux lois de l’apesanteur rythmique, son Same old blues une alchimie parfaite entre ruée vers l’or et beauté extatique. Booty and the beast est un album à emmener dans votre dernière demeure, une ultime chance de vous ouvrir les portes d’une vie éternelle et de ne pas vous taper que des thons au paradis. Pour les Bouddhistes mordus de hara kiri, Chubby’s goodnight devrait pouvoir servir d’hymne au grand départ. Arigato Mister Chubby.

Envoyer sur cette galette.

 

1996 The first cuts Popa Chubby    

Popa Chubby The first cuts.jpg (6354 octets)

Popa Chubby guitare chant
Don Castagno, Sean Pelton, Tom Major, Tony Mason et Stephen Gullo tiennent les baguettes, Michael Merritt, Alex T.Mackay et Mike Leslie la quatre cordes
Seth Farber, Georges Laks et Michael Parrish les claviers
Anders Gaardmand le sax
Larry Etkin la trompette
Ed Sullivan l'harmonica et Bonnie Troy et Amanda Harvey pour les backs.
Pascal Lob (2002)
La galette regroupe différentes sessions effectuées entre 1992 et 1993.
Elle est bonne et annonciatrice de ce que sera Booty and the Beast. C'est peut être dommage qu'il soit sorti après.
A écouter
avec attention.

Envoyer sur cette galette.

 

1996 Hit the high hard one Popa Chubby    

Popa Chubby Hit The Hard.jpg (6558 octets)

Popa Chubby guitare chant
Rick Monica Jr batterie
Twisty Benson basse
Dean Zucchero
basse
Pascal Lob (2002)
On prend des nouveau titres( En dehors de Sweet Goodess of Love and Beer et de Stoop Down Baby), on balance le tout sur scène et on laisse monter la sauce, et elle monte.
L'album reste dans la lignée des précédents avec l'intensité que l'on pouvait attendre de la scène.
A écouter

Envoyer sur cette galette.

 

1997 One million broken guitars Popa Chubby    

Popa Chubby One Million Broken.jpg (6152 octets)

Popa Chubby guitare chant
Basse: Tim Fritz, Ronnie Altaville, Paul Page, Rick Monica, Popa Chubby
Batterie: Mike Lauren, Steve Holley, Tom Major
Claviers: Mike Latrelle, Michael Parrish, Mitch Margool
Pascal Lob (2002)
Une tartine résolument plus calme mais qui sait se tenir. J'ai nettement moins accroché, mais il va falloir faire fort pour que je trouve un album meilleur que Booty and the Beast. Il termine l'album en racontant une histoire à laquelle je n'ai rien compris et surtout pas l'intérêt.
A écouter
sans plus

Envoyer sur cette galette.

 

1998 Brooklyn Basement Blues Popa Chubby    

Popa Chubby Brooklin Bassement blues.jpg (7439 octets)

Popa Chubby guitare chant
Batterie: Paul Richard, Michael Lauren, Tom Major
Basse: Tim Fritz, Popa Chubby, Mike Leslie
Claviers: Doña Oxford
Pascal Lob (2002)
Encore un bon album rien de plus.
A écouter.
Bruno 2A (avr 2003)
Dans le classement, 2ème après Booty and the Beast. Le son est parfait et Popa n'est pas trop bavard dans ses solos (par la suite il va un peu déraper). Les reprises d' Hendrix et d'Otis Redding sont de très bon goût. Rythme cha-cha sur fond de wha-wha pour Rats get whacked; phrasés à la Kenny Burrel sur rythme jazz-blues et voix graveleuse légèrement off sur She said that devil was her name;  rythme à la Willy de Ville sur Arlita, grande classe estampillée Popa sur le futur classique White devil et blues-rock texan avec l'entraînant If it feels like love
Je note 5 étoiles.
P.S. : ne manquez sous aucun prétexte Popa en concert. 

Envoyer sur cette galette.

 

2000 How'd a white boy get the Blues? Popa Chubby    

Popa Chubby How'd a white boy get the Blues.jpg (5694 octets)

Popa Chubby guitare chant
Steve Holley à la batterie
Kris Jefferson à la basse
Mike Lattrell aux claviers
Galea aux backs
Craig Dryer au sax,
Pascal Lob (2002)
Encore une bonne tartine . Goin' Down to Willie's donne envie d'aller acheter un cheval.
A écouter

Envoyer sur cette galette.

Pascal Lob (2002)
Il participe en 2000 à la tartine de Mason Casey Reefer smokin' Man où on ne peut pas dire qu'il ait particulièrement brillé.
Mason_Casey_Reefer_Smokin_Man.jpg (3791 octets)

Pascal Lob (2002)
J'ai vu l'imposant animal pour la tournée de One Million Broken Guitars, c'est musicalement impressionnant mais j'ai trouvé l'ensemble un peu trop agressif. Je ne regrette pas le déplacement mais je n'y suis pas retourné pour la tournée de How's a white boy get the Blues. J'irai probablement à la prochaine.

2002 The Good The Bad & the Chubby Popa Chubby Dixiefrog 8530

Popa Chubby The good, the Bad & the Chubby.jpg (3392 octets)

Popa Chubby guitare chant
Steve Holley à la batterie
Kris Jefferson à la basse
Mike Lattrell aux claviers
MC Pokechop scratchin'
Ian "Spliffy" sax
Larry "Mr.Sticks" Crockett batterie, percus
Invités: Arthur Neilson, Big ed Sullivan, Mason Casey
Thierry (2002)
Le teigneux et stakhanoviste new-yorkais remet la compresse en ce début 2002. On annonce déjà son album comme étant le meilleur. Bla-bla publicitaire habituel ? Moi qui ai son ¦uvre complète, je ne suis pas loin de penser qu¹il pourrait y avoir du vrai là-dedans. Les textes sont personnels et engagés, les styles sont ­ comme à son habitude - variés (rap, blues, slow rock, etc.) , la voix et la guitare sont parfaitement assurés : tout est réuni pour un album marquant. Le lourd se mêle au léger, la colère à l¹amour, le déjà-vu se renouvelle de belle manière (comparez la version live de Dirty Lie, sur "Popa Chubby présents New York City Blues Again", avec la version studio ici présente pour vous faire une idée). C¹est sûr, Popa-le-Dodu a fait fort. C¹est peut-être pas encore l¹album parfait, mais c¹est le parfait album pour s¹exploser les oreilles et se faire plaisir. Une palme pour l¹excellent  Somebody let the devil in qui raconte le 11 septembre de Popa.
Par ailleurs, ne le manquez pas en concert : trois heures d¹un déchaînement absolu qui prouvent que Popa sait tenir le rythme, la distance et le devant de la scène (allergiques aux immenses solos de guitare, passez votre chemin !).

Envoyer sur cette galette.

2002  Il est de retour dans le Black Coffee Blues Band   avec Dimitri, Galea, et Arthur Neilson Black Coffee Blues Band.jpg (5929 octets)
2003 Live at FIP Popa Chubby Dixiefrog 8550

Popa Chubby guitare chant
Mike Lattrell claviers
Larry Crockett batterie
Kris Jefferson basse
Galea basse
Vincent Daume batterie

Jérôme Mad Man (juin 2003)
Ah! Tiens un live de Popa Chubby chez France Inter, encore en plus, et avec deux dates. Une en juin 2001 et une en décembre 2002. Est-il subventionné par le ministère de la culture et obtiendra t-il un traitement équitable de ses points de retraite, ainsi que l’assurance chômage inhérent aux droits légitimes des intermittents du spectacle ? Passons!
Après son prénuptial Flash back et son revival de Black coffee, c’est sur un chemin décidément très pop que Popa nous promène entre deux campagnes promos de guitaristes de blues New-Yorkais.
On ne sait plus où donner de l’oreille mais la machine à sous est en marche, tout comme celle de notre François “Boucher producteur” Lazzaro national. Soudain le blues m’apparaît verdâtre avec, en prime, l’effigie des Présidents Washington ou Johnson en filigrane.
Heureusement Popa n’est un artiste français sinon son cach’ton y pourrait se le mettre moitié sur son PEP, moitié dans son cul, pour l’occasion revêtu d’un Skaï noir façon simili latex.
L’album reste néanmoins terrible mais à l’usage interne, pour les fans de Popa dont je fais parti. Le gros bât..., il assure quand même!! Hey joe, Fire, Gloria pour les standards, Sweet goddess of love and beer, How’d a white boy get the blues ? pour les compos.
Pour les amateurs de vrai pop’ricainanglaise, deux références : Steve Earle, Transcendental blues, chez Artemist Records 2001 (498074-2) ; Honeydogs, Here’s luck, chez Palm Pictures LLC 2000 (PALMCDC205262), du bonheur en sus.

Didier de Grenoble (juin 2003)
Cet album est (je suppose) une façon de s'excuser de ses 2 dernières tournée MINABLES du point de vue scénique. Ils essaie peut-être de rembourser son public avec ce très bon double live.
En effet, j'ai assisté à l'une de ses premières tournées en France en 2000 et là, je ne revenais pas de sa performance vocale, de son son jeux de scène et pour compléter le tout, un groupe "top". La tournée suivante : plein de longueurs des morceaux interminables à la limite du remplissage. La dernière fois, 2002, c'était n'importe quoi, improvisation à la batterie d'une demi heure, des morceaux massacrés, impression d'assister à une répète des mauvais jours. Je suis partis avant la fin ne voulant pas cautionner cette pathétique "débandade". Je considère ce live comme une excuse pour le mépris qu'il a eu à l'égard de son public.

Michel (oct 2004)
Un album live qui le fait, une excellente prise de son et l'ambiance scène des grands jours .. Un album soigné et énergique. Du très bon Popa quoi !  Et pour répondre à Didier, moi qui ai pu le voir déjà 4 fois on stage, et la dernière étant la meilleure, jamais je n'ai eu de désagréable impression sur la qualité de ses prestations ! Je comprends cela dit qu'un tel musicien puisse avoir des passages à blanc (Excès de bourbon ?) 

CC (18/05/2005)
Popa vient de passer à Nimes à l'Hotel Imperator ( samedi 6 juillet ) concert dans un joli parc , spectateurs plutôt calmes , de mon âge ( 20 ans dans les années 70 ) mais néanmoins enthousiastes - il a fait un malheur -!!! en milieu de concert , il a juste suggéré "why don't you move your ass"  et là , tout le monde a démarré ... c'était génial - il a ensuite vendu et dédicacé son nouvel album double CD  "Ten Years with Popa Chubby" avec un CD studio et l'autre "live" il y a "A chaque jour suffit sa peine" que je ne connaissais pas ,  mais je déplore que le titre "I love your shoes" n'y soit pas - cordialement

Envoyer sur cette galette.

 

2003   Il était au Festival Blues Autour du Zinc à Beauvais

2005 Popa Chubby passait par l'Espace Carpeaux à Courbevoie le 17 avril

 

 

- Américains - Australiens - Belges - Britanniques - Canadiens - Espagnols - Français - Italiens - Suisses - Yougoslaves -
- Traces de Passage - Les Chroniqueurs - Contactez nous - Les Incontournables - Les Liens - Hommage -
- Accueil - A voir à Rouen - Festivals - Tournées - Événements - Interviews - Derniers Concerts - L'Histoire - Compilations -