Dernière Modification le : 16/05/05
Il débute la guitare vers 15 ans en reprenant les riffs de
Johnny Winter, Jimi
Hendrix ou Led Zeppelin.
Chef de file du Blues New Yorkais qui
compte entre autres Bill Perry, Steve Johnson ou Tino
Gonzalez. On dit de lui qu'il a apporté un nouveau souffle au Blues.
1992 |
It's
Chubby time |
Popa Chubby |
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Popa
Chubby guitare chant
Don Castagno à la batterie
Michael Merritt basse
Alex T.Mackay basse
Seth Farber claviers
George Laks claviers
Larry Etkin trompette
Anders Gaardmand sax |
Pascal
Lob (2002)
L'animal signe ici une galette très intéressante. On retrouve six titres de cet
album sur the first cuts sorti en 1996. L'album regroupe des
versions intéressantes de Stoop down baby ou Sweet goddess of love and beer (que l'on retrouvera sur d'autres
albums).
A écouter |
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1995 |
Booty and the Beast |
Popa
Chubby |
Sony |
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Popa Chubby guitare chant
Mike Leslie basse
Tom Major batterie
Georges Laks claviers
Mitch Wargold piano
Rick Monica percus |
Pascal
Lob (2002)
C'est avec cet album que j'ai découvert l'animal. Bien que sortant du Blues
traditionnel (j'ai trouvé ce disque dans les bacs Hard rock) je l'ai
adopté.
Une galette de très grande qualité. Tous les titres son bons, chacun possède un esprit
et une âme différente. De Same Old Blues, un morceau lent
qui prend une énergie incroyable à Low Down and Dirty très
Rock ravageur en passant par Sweat,
un Swing torride il faut tout garder.
A avoir |
Bruno (2002)
Ne cherchez pas ! Si vous vous êtes connectez sur ce site, vous possèdez obligatoirement
ce monument, ou alors courrez vite chez votre disquaire habituel, qui aurait dû avoir
ce CD en stock inépuisable dans ses bacs, pour lui flanquer quelques baffes !!! Enfin,
quoi ! Le meilleur album de blues-rock des 20 dernières années ! A posséder
plutôt 2 fois qu'une. On ne sait jamais. Un monument
P.S. : Pour sûr, l'influence de Freddy King est flagrante, mais personne n'a
accusé Clapton d'avoir pillé ce dernier et Otis Rush
Ne pas oublier Brooklyn basement Blues |
Jérome
Mad Man (Nov 2002)
Si cest pas du play back, alors je lui tire
mon chapeau. Ce Popa sait vraiment tirer les
meilleures ficelles des mailles éclectiques et modernes du blues. Des plus électriques
aux plus funkies, il sait faire vibrer les divers languages musicaux. On dirait quil
nous nargue, lempafé.
Son Stoop down baby est un affront aux lois de
lapesanteur rythmique, son Same old blues une alchimie
parfaite entre ruée vers lor et beauté extatique. Booty and
the beast est un album à emmener dans votre dernière demeure, une ultime chance
de vous ouvrir les portes dune vie éternelle et de ne pas vous taper que des thons
au paradis. Pour les Bouddhistes mordus de hara kiri, Chubbys
goodnight devrait pouvoir servir dhymne au grand départ. Arigato Mister Chubby. |
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1996 |
The
first cuts |
Popa Chubby |
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Popa Chubby guitare chant
Don Castagno, Sean Pelton, Tom
Major, Tony Mason et Stephen
Gullo tiennent les baguettes, Michael
Merritt, Alex T.Mackay et Mike
Leslie la quatre cordes
Seth Farber, Georges Laks
et Michael Parrish les claviers
Anders Gaardmand le sax
Larry Etkin la trompette
Ed Sullivan l'harmonica et Bonnie Troy et Amanda
Harvey pour les backs. |
Pascal
Lob (2002)
La galette regroupe différentes sessions effectuées entre 1992 et 1993.
Elle est bonne et annonciatrice de ce que sera Booty
and the Beast. C'est peut être dommage qu'il soit sorti après.
A écouter avec attention. |
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1996 |
Hit the high hard one |
Popa Chubby |
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Popa Chubby guitare chant
Rick Monica Jr batterie
Twisty Benson basse
Dean Zucchero basse |
Pascal
Lob (2002)
On prend des nouveau titres( En dehors de Sweet Goodess of
Love and Beer et de Stoop Down Baby), on balance le
tout sur scène et on laisse monter la sauce, et elle monte.
L'album reste dans la lignée des précédents avec l'intensité que l'on pouvait attendre
de la scène.
A écouter |
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1997 |
One million broken guitars |
Popa Chubby |
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Popa Chubby guitare chant
Basse: Tim Fritz, Ronnie Altaville,
Paul Page, Rick Monica, Popa Chubby
Batterie: Mike Lauren, Steve Holley,
Tom Major
Claviers: Mike Latrelle, Michael
Parrish, Mitch Margool |
Pascal
Lob (2002)
Une tartine résolument plus calme mais qui sait se tenir. J'ai nettement moins
accroché, mais il va falloir faire fort pour que je trouve un album meilleur que Booty and the Beast. Il termine l'album en
racontant une histoire à laquelle je n'ai rien compris et surtout pas l'intérêt.
A écouter sans plus |
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1998 |
Brooklyn Basement Blues |
Popa Chubby |
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Popa Chubby guitare chant
Batterie: Paul Richard, Michael Lauren,
Tom Major
Basse: Tim Fritz, Popa Chubby,
Mike Leslie
Claviers: Doña Oxford |
Pascal
Lob (2002)
Encore un bon album rien de plus.
A écouter. |
Bruno
2A (avr 2003)
Dans le classement, 2ème après Booty
and the Beast. Le son est parfait et Popa
n'est pas trop bavard dans ses solos (par la suite il va un peu déraper).
Les reprises d' Hendrix et d'Otis
Redding sont de très bon goût. Rythme cha-cha sur fond de
wha-wha pour Rats get whacked; phrasés à la
Kenny Burrel sur rythme jazz-blues
et voix graveleuse légèrement off sur She
said that devil was her name; rythme à la Willy
de Ville sur Arlita, grande classe
estampillée Popa sur le futur
classique White devil et blues-rock texan
avec l'entraînant If it feels like love.
Je note 5 étoiles.
P.S. : ne manquez sous aucun
prétexte Popa en concert. |
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2000 |
How'd a white boy get the Blues? |
Popa Chubby |
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Popa
Chubby guitare chant
Steve Holley à la batterie
Kris Jefferson à la basse
Mike Lattrell aux claviers
Galea aux backs
Craig Dryer au sax, |
Pascal
Lob (2002)
Encore une bonne tartine . Goin' Down to Willie's donne
envie d'aller acheter un cheval.
A écouter |
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Pascal
Lob (2002)
Il participe en 2000 à la tartine de Mason Casey Reefer smokin'
Man où on ne peut pas dire qu'il ait particulièrement brillé. |
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Pascal Lob
(2002)
J'ai vu l'imposant animal pour la tournée de One Million
Broken Guitars, c'est musicalement impressionnant mais j'ai trouvé l'ensemble un
peu trop agressif. Je ne regrette pas le déplacement mais je n'y suis pas retourné pour
la tournée de How's a white boy get the Blues. J'irai
probablement à la prochaine.
2002 |
The Good The Bad & the Chubby |
Popa
Chubby |
Dixiefrog |
8530 |

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Popa
Chubby guitare chant
Steve Holley à la batterie
Kris Jefferson à la basse
Mike Lattrell aux claviers
MC Pokechop
scratchin'
Ian "Spliffy" sax
Larry "Mr.Sticks" Crockett
batterie, percus
Invités: Arthur Neilson, Big ed Sullivan, Mason Casey |
Thierry (2002)
Le teigneux et stakhanoviste new-yorkais remet la compresse en ce début 2002. On
annonce déjà son album comme étant le meilleur. Bla-bla publicitaire habituel ? Moi qui
ai son ¦uvre complète, je ne suis pas loin de penser qu¹il pourrait y avoir du vrai
là-dedans. Les textes sont personnels et engagés, les styles sont comme à son
habitude - variés (rap, blues, slow rock, etc.) , la voix et la
guitare sont parfaitement assurés : tout est réuni pour un album marquant. Le lourd se
mêle au léger, la colère à l¹amour, le déjà-vu se renouvelle de belle manière
(comparez la version live de Dirty Lie, sur "Popa Chubby présents New York City Blues Again", avec la
version studio ici présente pour vous faire une idée). C¹est sûr, Popa-le-Dodu a fait fort. C¹est peut-être pas encore
l¹album parfait, mais c¹est le parfait album pour s¹exploser les oreilles et se faire
plaisir. Une palme pour l¹excellent Somebody let the devil in
qui raconte le 11 septembre de Popa.
Par ailleurs, ne le manquez pas en concert : trois heures d¹un déchaînement absolu qui
prouvent que Popa sait tenir le rythme, la
distance et le devant de la scène (allergiques aux immenses solos de guitare, passez
votre chemin !). |
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2002 Il
est de retour dans le Black Coffee Blues Band
avec Dimitri, Galea,
et Arthur Neilson |
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2003 |
Live
at FIP |
Popa
Chubby |
Dixiefrog |
8550 |

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Popa
Chubby guitare chant
Mike Lattrell claviers
Larry Crockett batterie
Kris Jefferson basse
Galea basse
Vincent Daume batterie |
Jérôme Mad Man (juin 2003)
Ah! Tiens un live de Popa Chubby
chez France Inter, encore en plus, et avec deux dates. Une en juin 2001 et
une en décembre 2002. Est-il subventionné par le ministère de la
culture et obtiendra t-il un traitement équitable de ses points de
retraite, ainsi que l’assurance chômage inhérent aux droits légitimes
des intermittents du spectacle ? Passons!
Après son prénuptial Flash back et son
revival de Black coffee, c’est sur un
chemin décidément très pop que Popa
nous promène entre deux campagnes promos de guitaristes de blues
New-Yorkais.
On ne sait plus où donner de l’oreille mais la machine à sous est en
marche, tout comme celle de notre François “Boucher producteur”
Lazzaro national. Soudain le blues m’apparaît verdâtre avec, en prime,
l’effigie des Présidents Washington ou Johnson en filigrane.
Heureusement Popa n’est un artiste
français sinon son cach’ton y pourrait se le mettre moitié sur son
PEP, moitié dans son cul, pour l’occasion revêtu d’un Skaï noir façon
simili latex.
L’album reste néanmoins terrible mais à l’usage interne, pour les
fans de Popa dont je fais parti. Le
gros bât..., il assure quand même!! Hey joe,
Fire, Gloria
pour les standards, Sweet goddess of love and beer,
How’d a white boy get the blues ? pour les
compos.
Pour les amateurs de vrai pop’ricainanglaise, deux références :
Steve Earle, Transcendental
blues, chez Artemist Records 2001 (498074-2) ; Honeydogs,
Here’s luck, chez Palm Pictures LLC
2000 (PALMCDC205262), du bonheur en sus. |
Didier
de Grenoble (juin 2003)
Cet album est (je suppose) une façon de s'excuser de ses 2
dernières tournée MINABLES du point de vue scénique. Ils essaie peut-être
de rembourser son public avec ce très bon double live. En
effet, j'ai assisté à l'une de ses premières tournées en France en
2000 et là, je ne revenais pas de sa performance vocale, de son son jeux de
scène et pour compléter le tout, un groupe "top". La
tournée suivante : plein de longueurs des morceaux interminables à la
limite du remplissage. La dernière fois, 2002, c'était
n'importe quoi, improvisation à la batterie d'une demi heure, des
morceaux massacrés, impression d'assister à une répète des mauvais
jours. Je suis partis avant la fin ne voulant pas cautionner cette pathétique
"débandade". Je considère ce live comme
une excuse pour le mépris qu'il a eu à l'égard de son
public. |
Michel
(oct 2004)
Un album live qui le fait, une excellente prise de son et l'ambiance scène
des grands jours .. Un album soigné et énergique. Du très bon Popa
quoi ! Et pour répondre à Didier, moi qui ai pu le voir déjà 4
fois on stage, et la dernière étant la meilleure, jamais je n'ai eu de désagréable
impression sur la qualité de ses prestations ! Je comprends cela dit
qu'un tel musicien puisse avoir des passages à blanc (Excès de bourbon
?) |
CC (18/05/2005)
Popa vient de passer à Nimes à l'Hotel Imperator ( samedi 6 juillet )
concert dans un joli parc , spectateurs plutôt calmes , de mon âge ( 20
ans dans les années 70 ) mais néanmoins enthousiastes -
il a fait un malheur -!!!
en milieu de concert , il a juste suggéré "why don't you move your ass" et là , tout le monde a démarré ... c'était génial - il a ensuite
vendu et dédicacé son nouvel album double CD "Ten Years with Popa
Chubby" avec un CD studio et l'autre "live"
il y a "A chaque jour suffit sa peine" que je ne connaissais pas ,
mais je déplore que le titre "I love your shoes" n'y soit pas -
cordialement
|
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2003 Il était au Festival Blues Autour du Zinc à Beauvais
2005 Popa
Chubby passait par l'Espace Carpeaux à Courbevoie
le 17 avril.
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