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Dernière modification le 04 sept. 2004
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| 1992 |
Let’s
lose it |
Barrence
Whitfield |
New Rose Records |
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Jérome Mad
Man (Nov 2002)
C’est dans un asile de fous que ce
barjo de Barrence a dû commencer sa carrière. Le
docteur sinoque (prononcer Saïnoke si vous maîtrisez l’accent américain) a
certainement dû lui prescrire son poids en neuroleptiques, c’est sur, ou alors le
monde est en danger.
Diagnostiqué entre Screamin’ Jay Hawkins
et little Richard voici notre patient qui
nous assène d’entrée, en guise d’aveux signés, son très rock
‘n’ roll Method to my madness.
L’atmosphère pathologique ambiante générée par une formation classique, enrichie
d’un saxophoniste également agité du bocal (tantôt ténor, tantôt baryton), sait
apporter des touches parfois rock swing, parfois purement soul,
comme dans le jouissif Under my nose ou le trépidant Loneliness ain’t no crime. Un p’tit
valium, let’s loose it et au lit pour un bon vol au dessus d’un
nid de coucou plein de beaux rêves.
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Barence Whitfield