Javier Vargas

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Dernière modification le 3 octobre, 2005

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1997 Gipsy Boogie Vargas Blues Band    

Vargas_Blues_Band_Gipsy_Boogie.jpg (3447 octets)

 
 
JJ (fev 2003)
Guitariste de talent au blues latino saupoudré des sonorités gitanes .Il mérite d'être beaucoup plus connu en France. Une guitare d'une technique sans équivoque. Gipsy boogie, Sacalo, illegaly, autant de titres qui me font vibrer car José Vargas est non seulement un artiste talentueux mais opere d'un style qui me transperce le coeur.
Bruno 2A (avr 2003)
Oui, Vargas est talentueux et ce disque l'est aussi. Bien des styles, des rythmes et des influences diverses s'entrecroisent avec bonheur et concision. Tout comme son copain, Carlos Santana, les rythmes latins sont omniprésents avec en primes des passages flamenco ; on pourrait presque donnait l'appellation de "World-blues" à sa musique. Appellation non usurpée quand on sait que le gars Vargas, espagnol de naissance et habitant Madrid, a enregistré ce CD à Memphis et en Espagne avec moult pointures américaines et espagnoles. Pour rendre la chose alléchante, on peut en citer quelques unes comme Larry Graham qui explose le morceau d'ouverture avec une basse vrombissante ; ou encore Larry McCray qui enrichi de sa fameuse voix une ballade soul-blues et la reprise de Guitar Watson A real mother for ya; Manoblanca dans des extraordinaires interventions de flamenco; Lonnie Brooks sur un pur blues lent Chicagoien. A noter aussi la présence du grand Chester Thomson à la batterie, de Little Jimmy King et de David Allen (voix trop blanche et forcée à mon goût pour ce disque), et de David Montes et Booby Alexander aux vocaux qui feront des merveilles sur le disque suivant, l'excellent Feedback. On retrouve aussi sur ce CD une reprise sympa du Chill Out de John Lee Hooker très hispaniqsé et rebaptisée pour la peine en Sàcalo. Vargas a la sagesse de, bien qu'étant leader et guitariste, savoir ce restreindre en soli, et ce dans un souci de concision des titres interprétés. D'ailleurs la production de Jim Gaines nous permet d'entendre tous les instruments avec clarté et transparence. Tout pour le plaisir des oreilles bleues.

Jeff (juillet 2004)
Petite correction, ce n'est José Vargas mais Javier Vargas, Jef, fan de The Vargas Blues Band et heureux possesseurs de 12 de ses albums

Alain Rataud (fev 2005)
On l'appelle stevie ray vargas...

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2005 Love, Union, Peace Vargas Blues Band
Dro East West
DEW0298
     

Mad Man (03/10/2005)
Imaginez-vous sur la plage d’un atoll de rêve… Bon ! y a du sable blanc, y a une fille à moitié nue, de rêve également, qui vous masse les lombaires parce vous êtes allongé sur le ventre… Bon ! Y a une noix de coco remplie de Bitacolada, avec l’ombrelle et la rondelle d’ananas sur l’accoudoir de votre transat… Bon ! Y a Oum le dauphin qui vous fait hin ! Hin ! Hin ! … C’est normal, car vous êtes sur la plage d’un atoll de rêve. Bref ! Vous êtes enfin prêt pour la Love Union Peace attitude.
Le Robbenfordien Tiny Paradise ne me touche pas autant qu’un bon Blues boueux du Bayou, mais sa chaleur latine dépayse et vous renvoie loin du stress du bureau. Sunny Day est le fruit consommé des ébats de Chris Rea et de Shade dont la mélodie suave vous donnera des envies de langueur et de non chrétiennes pensées. Pretty Blue et Sad Eye vous expédieront dans un vieux club craignos de Chicago, mais votre cœur sera toujours au soleil. La musique du sieur Vargas est sucrée et épicée à la fois. On pourrait dire romantique et nonchalante, mais digne d’intérêt par sa richesse harmonique et orchestrale. C’est radiophonique, mais bien écrit. Avec Deep Blue et Dance Away the Blues le vent se lève sur Proutville, dansons tous ensemble sur l’hymne de la parade annuelle de la dite commune.
Vous êtes toujours sur la plage d’un atoll de rêve… Mais si vous avez l’impression d’avoir l’orgue de Roger Glover au fond de votre slip de bain, normal vous écoutez Exotic Mambo.
Si il y a des mariachis qui chient dans la marre, vous écoutez Agua Clara. Si il y a une femelle Bisounours qui contorsionne sa petite langue fushia dans votre oreille, normal vous écoutez God Give Me Strength. Par contre, si vous n’êtes pas sur une plage de rêve avec du sable, si il n’y a pas la meuf’ canon, ni Flipper et tout le délire sympa, à l’écoute de ce cd, vous n’êtes pas fait pour le bonheur tropical.
Je sais, j’insiste, mais il faut absolument écouter Sunny Day. Si vous aimez les beaux arrangements et les clichés genre…Papeete sous la pluie et mourir ! Ou Venise pour qu’elle revienne et mourir pareil ! Alors vas-y ! Sinon vas-y pas…Hin ! Hin ! Hin ! C’est toi qui vois.

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