Kenny Wayne Shepherd

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Dernière modification le 04 sept. 2004

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1995 Ledbetter Heights Kenny Wayne Shepherd

Kenny Wayne Shephers Ledbetter Heights.jpg (3774 octets)

Kenny Wayne Shepherd guitare voix
Corey Sterling chant
Joe Nadeau guitare
Will Ainsworth basse
Jimmy Wallace claviers
Kevin Smith batterie
Pascal Lob (2002)
Alors lui il a du prendre une pile de disques de Stevie Ray sur la tête quand il était tout petit. Il s'en est pas remis. C'est du tout bon. Rien à dire, rien à jeter. Je ne parlerai pas de son age çà n'a aucun intérêt pour l'écoute.
A avoir

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1999 Live On Kenny Waine Shepherd

Kenny Wayne Shepherd Live on.jpg (2733 octets)

Kenny Waine Shepherd guitare chant
Noah Hunt chant
Sam Wynans claviers

Keith Christopher basse
Invités
Chris Layton batterie
Tommy Shannon basse
Reese Wynans claviers
Bryan Lee guitare
James Cotton harmo
Mickey Raphael harmo
Warren Haynes slide
Arion Salazar basse
Les Claypool basse
Pascal Lob (2002)
Alors là il a du glisser sur un album de Metalica. J’ai failli ne pas dépasser le troisième titre, trop Rock, trop dur, trop lourd. Après, c’est un peu plus supportable mais il en met partout, il en met trop et ça gave. Cette galette tape dans tous les sens, c’est sûrement mieux pour vendre.
A oublier
Marc Loison (Aout 2002) Ce disque est une merde!
Jérôme Mad Man (mar 2003)
Battez tambours, sonnez vielles tourmentées. Les troubadours du 20ème siècle, à l’image de K.W. Shepperd, semblent avoir de la nitroglycérine ras les baskets. Ras le slip, au regard de l’omnipotente campagne américaine contre le terrorisme, parait une localisation moins hygiéniste que chrétienne mais néanmoins plus temporairement défendable. Entre l’enfer de Dante annoncé et le Groucho-Mac Carthisme ambiant notre futur me parait fort mal assuré, mais qu’importe...
Par Saint Georges, Saint Nectaire et tout le Saint frusquin, je vous fais chevalier de l’ordre des lecteurs avisés de la présente chronique. In 2 deep nous plonge, sans préavis, dans le fond baptismal d’un thème salement accrocheur. Them changes est un pur désir d’eucharistie pop, une véritable communion, avec un Christ Hendrixien porteur d’une foi électriquement transfigurée.
Shotgun Blues est un hymne prénuptial pour refoulés des noces de Cana, ça ne change pas l’eau en vin mais ça distribue des pains à qui veut. Pour le pêcheur moyen, toujours rapport aux pains, Never mind est une bonne raison d’aller faire pénitence chez les Nénichou. Losing kind nous distille un dernier uppercut pour la route, une douce praline avant de sortir du ring. Electric Lullaby est tel un ultime message prophétique avant le know out selon Saint Jean.

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