Dernière modification le 05 juin 2005
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Nom |
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Prénom |
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à |
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Site officiel |
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En
bref
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1996 |
Treat
me right |
Eric
Sardinas |
Evidence |
26102 |
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Eric Sardinas guitare chant
Hubert Sumlin guitare
Johnny Winter guitare chant |
Jérôme
Mad Man (mar 2003)
Décidément les bacs de nos grands distributeurs nationaux, fort soucieux
détiquetages musicaux, sont fâcheusement mal rangés. A linstar
dimmenses pointures, comme Tony Spinner
ou Michael Katon, les artistes comme Eric Sardinas ne sont jamais placés dans les rayons Blues
sensés les représenter. Ceux-ci sont éternellement coincés, entre Abba et
Zappa, dans
le registre fourre-tout de la Pop Rock du pire comme du
meilleur.
Même si son nom de famille évoque un vendredi ordinaire chez Capitaine Cook, Treat me right est une invitation à faire ripaille chez
"Môssieur" Bordeaux Chesnel.
Son Blues démarre très fort avec le morceaux titre de
lalbum. Avec Write me a few lines atomisé par une voix
à la Johnny Winter, qui dailleurs
participe à son propre Tired of tryin, Eric Sardinas menchante littéralement. Son plantureux
Cherry bomb de derrière les graviers est un
véritable hymne à lamour pour fan de pécheresses blondes au généreux "95
bonnet C".
Captain Sardinas a vraiment du slide plein les
bretelles et du feeling à en découdre. Get along rider est
une jolie façon dinviter la plupart des cadors du tube en fer, à faire leur crotte
dans le bac à sable des dieux de "lopen tuning". Chevilles enflées
sabstenir.
Goin to the river et le célèbre I
cant be satisfied est une bonne occasion de troquer sa belle Takamine
vernie contre un Dobro aux bords coupants et, un bon vaccin
antitétanique.
Bonne pioche pour les piocheurs et surtout... Bonne pêche ! |
Thomas
Dequin (04/06/2005)
Tout bonnement l'un des meilleurs disques du genre que j'ai entendu. Une
énergie pas possible pour un disque incroyable. Du pur blues rock gras, mâtiné
de son de dobro. Un disque qui dégouline de partout. Ca fait penser à du
Gwyn Ashton croisé à du Johny Winter, avec une goutte des Rory Gallagher
les plus roots. La guitare slide déménage dans tous les sens et on ne
sait plus où donner l'oreille. On se laisse engloutir par la profondeur
de l'album avec délice tout en se demandant si on va en ressortir vivant.
Et puis une fois revenu à la vie, une seule question : Pourquoi n'ai-je
pas découvert cette tartine avant ?! |
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2001 |
Devil's Train |
Eric Sardinas |
Evidence |
26116 |
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Eric Sardinas guitare chant
Paul Loranger basse
Scott Palcios batterie
Avec
David Honeyboy Edwards sur 1 titre |
Pascal
Lob (2002)
Du Blues lourd et gras
avec de la slide bien graisseuse. Cette galette est proche du style de Gwyn Ashton ou de Machael Katon sauf sur le titre avec Honeyboy qui ressemble plus
à du Willie Dixon et le
dernier titre de l'album une ballade FM sans aucun intérêt.et le
dernier titre de l'album une ballade FM sans aucun intérêt.
A écouter |
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2003 Eric Sardinas
était au Festival
Blues Autour du Zinc à Beauvais
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