Little Charlie & The Nightcats

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Dernière modification le 21 octobre, 2005

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1995 Straight Up! Little Charlie & The Nightcats Alligator 4829

 
 
  

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2002 That's Big Little Charlie & The Nightcats Alligator 4883

Little Charlie & the Nightcats That's Big.jpg (6092 octets)

Little Charlie Baty guitare
Rick Estrin harmo chant
Frankie Randall basse
Joey Ventittelli batterie
Plus:
Rusty Zinn guitare chant
John Firmin sax
Rob Sudduth sax
James Harman chant
Steve Lucky claviers
Chris Siebert piano
Pascal Lob (Oct 2002)
Une basse batterie, au-dessus de tous soupçons, qui nous pose les ambiances aussi bien Jump, West Coast ou Swing avec aisance et sans lourdeurs.
Comme toujours les guitares sont hallucinantes et les deux interventions de Rusty Zinn ne sont pas là pour me démentir.
Même si je n'en suis pas un grand fan de son style, Rick Estrin est irréprochable, tant au chant qu'a l'harmonica. L'ensemble présente une vraie cohérence et c'est un vrai plaisir de faire tourner cette galette.
A écouter
Jérôme Mad Man (mar 2003)
Il est vraiment très difficile, avec cet album divinement jump, de pleurer bergère aux moutons pour s’endormir. Nos nobles connards d’ovidés laineux semblent avoir une sainte propension, appréciants les mélanges d’ambiances et les rythmes syncopés du petit Charlie, à vouloir nous empêcher de les compter en se trémoussants sans fin.
Ils n’ont de cesse de s’agiter, en bons fidèles du premier Panurge swing venu, de nous attirer vers le gouffre hébété de leur sottise grégaire. Pour des cons... C’est des cons les moutons.
Je voulais juste boire un coup, écouter du Blues puis dormir un peu... Pas de chance car ce
That’s big est vraiment énorme et s’écoute jusqu’au bout de la nuit. Le très sauvage Bluto’s back est un hymne rivalisant les thèmes de "Batman", de "Fantomas" ou de "Buffy contre Martine qu’a ses règles en enfer" (le dernier exemple n’est que pure fiction, un ultime scénario de séries Z comme autant d’effluves opiacées, pour producteur novice d’"M6 Universal").
Heureusement
I’ll bet I never cross your mind, joué par un Rusty Zinn décidément prolifique et inspiré, me fait rêver d’une soupe à l’oignon endiablée chez la susnommée Martine (l’héroïne de B.D. bien sûr !) avec sa jupe plissée et socquettes blanches.
Plus besoin de mouton pour vous dire que la nuit sera longue et que rien ne saurait m’empêcher de savourer un repos post-coïtal sur
It better get better, une Marlboro dans le bec et un optimiste "alors heureuse?" lâché furtivement à Martine qui vous souhaite le bonjour, ainsi qu’Aglaë, Sidonie, Colargol, Candy, Madame est servie ainsi que les sœurs Ingalls... Allez, faites de beaux rêves!

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2005 Nous avons vu Little Charlie and The Nightcats à la Scène Jean-Roger Caussimon de Tremblay en France (93), le samedi 15 octobre avec en 1ere partie : The Hoodoomen.

 

 

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