Albert Collins

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Dernière Modification le : 18/11/04

  Nom Collins
Prénom Albert
Né le 1 octobre 1932
à Léonas, Texas
Dcd le: 24 novembre 1993 d'un cancer du poumon.
à: Las Vegas, Nevada
Surnoms: The Master of The Telecaster,  The Icemam,  The Houston Twister,  The Razor Blade pour son son tranchant comme le fil du rasoir.
Influences Clarence "Gatemouth" Brown pour l'utilisation du capodastre.  John Lee HookerT.Bone Walker,    Lightnin’ Hopkins (son cousin ??).
Site officiel:  

En bref

Albert Collins grandit à Houston. Il apprend d'abord le piano puis la guitare avec un autre de ses cousins Willow Young qui lui apprend à utiliser les accords ouverts (Open Tunning).

1946    Il forme un trio et joue pendant deux ans au Manhattan Club de Galveston. Le patron lui offrira sa première Fender, une Esquire de 1948 l'ancêtre de la Telecaster .

1950    Il accompagne le chanteur Piney Brown. Il rencontre ensuite le guitariste Gatemouth Brown.

1954    Il revient à Houston et monte un trio avec le pianiste Willie Johnson et le saxophoniste Henry Hayes.Son style est particulièrement marqué par l'utilisation du capodastre et de l'opentuning. Il se rend populaire auprès du jeune public blanc

1958    En sortant d'un concert son bassiste lui demande de brancher le dégivrage (de-freeze) pour désembuer le pare brise. Inspiré il écrit et sort son premier 45 Tours, The Freeze, sur le label Kangaroo. Le titre sera enregistré avec un groupe de 10 musiciens The Rhythm Rockers. Il continue pourtant à enregistrer pour des labels locaux, Great Scott et Hallway. Il tourne pour d'autres musiciens Leo Davison, Jimmy Nelson ou Big Walter Price.

1962    Premier succès avec le single Frosty, vendu à un million d’exemplaires. Deux adolescents assistent à l’enregistrement du titre, Janis Joplin et Johnny Winter. Pendant les années qui suivront, Albert Collins continue à travailler le jour, poursuivant sa carrière musicale la nuit avec de courtes tournées régionales pendant les week-ends.

1965 Truckin' with Albert Collins Albert Collins    

Albert Collins Truckin' with.jpg (4467 octets)

Albert Collins guitare
Herbert Henderson
batterie
Bill Johnson basse
Walter McNeil clavier
Big Tiny sax ténor
Henry Hayes sax alto
Frank Mitchell trompette
Pascal Lob (2002)
Cette galette contient des enregistrement de 1962 et 1963 (dont Frosty) Du Albert Collins pur jus.
A écouter

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Bob "The Bear" Hite et Henri Vestine membres du groupe de blues rock Canned Heat, manifestent de l’intérêt pour le guitariste et viennent à Houston pour assister à l’un de ses concerts. Ils repartent en Californie avec Albert Collins et le présentent chez Imperial Records qui le signe. Il enregistra 3 galettes pour le label.

1970 Trash Talkin'. Albert Collins    
   

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1972 There's got to be a change Albert Collins    
   

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1972 Compleat Albert Collins Albert Collins    
   

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Il y enregistrera plusieurs singles produits par Joe Walsh, le label étant la propriété de Bill Szymczyk, le producteur du groupe Eagles. En 73 le label disparaît.
Albert Collins n’enregistre pas beaucoup au cours des années 70 et au début des années 80, mais il continue les tournées, conduisant lui-même le bus du groupe jusqu’en 1988, où ils seront enfin en mesure d’embaucher un chauffeur.

1976    Il travaille surtout sur la cote ouest, puis Bruce Iglauer du label Aligator, le fait venir à Chicago pour enregistrer.

1977    Son jeu a évolué, il joue avec les doigts et son attaque des cordes est plus dure. Sur le concept de the Freeze il nomme son jeu le Ice picking ( pic à glace).

1978 Ice Pickin Albert Collins Alligator 4713

Albert Collins Guitare chant
Casey Jones batterie
A.C. Reed sax
Allen Batts claviers
Aron Burton basse
Chuck Smith sax
Bruno 2A (Oct 2003)
Grand. Trés Grand. Comment ? Vous vous dîtes amateur de Blues et vous ne connaissez pas Ice Pickin' (voir toute la période Alligator) de Collins ?? En quelques mots, Albert Collins a un style tellement propre à lui que vous ne trouverez jamais un seul musicien qui s'en approche ! Le seul a avoir un style funky dans sa guitare tout en gardant une certaine sauvagerie naturelle, car même dans ses blues lents, Albert n'a jamais fait dans la mièvrerie. Ice Pickin' est son 1er enregistrement sur Alligator et de mémoire, exception faîte de Hound Dog Taylor, le 1er vrai succès commercial du label blues de Chicago. 
Un Grand Classique.

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1980 Frostbite Albert Collins    
   

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1981 Frozen Alive Albert Collins    
   

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1983 Don't Lose Your Cool Albert Collins Sonet records 50772

Cette galette à été nommée pour un Grammy Awards.
Gringos (nov 2004)
Cocktail de blues lents, de « groove » et de folie : servir glacé évidemment !
A prescrire (9/12) 

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1984 Live in Japan Albert Collins    
   

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1986 Cold Snap Albert Collins    
  Une galette où apparaît l’organiste Jimmy McGriff et qui sera nommé pour un Grammy Award.

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1987 Showdown Albert Collins    

Albert Collins Showdown.jpg (5818 octets)

Albert Collins guitare chant harmo
Robert Cray guitare chant
Johnny Copeland guitare chant
Johnny B Gayden basse
Casey Jones batterie
Allen Batts clavier
Cette galette permettra aux trois guitaristes de remporter un Grammy Award.
Pascal
Lob (2002)
J'attendais une démonstration avec compétitions entre les trois, perdu! Cette tartine a vraiment une âme et ils ont l'air vraiment complices. Très vite on s'amuse à reconnaître qui joue et on se pique au jeu.
A écouter et plus si affinités

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1991 Iceman Albert Collins    

Albert Collins Iceman.jpg (4315 octets)

Albert Collins guitare chant
Johnny B Gayden basse
Deddie Davis guitare
Mabon "Teenie" Hodges
guitare
Jack Holder
guitare
Soko Richardson batterie
Eddie Harsh claviers
Charles Hodges
claviers
The Uptown Horns
Pascal Lob (2002)
Une fine équipe pour une tartine de haute tenue. Des cuivres qui tuent et des guitares qui tranchent, j'adore ça.
A avoir.
David B (Aout 2002)
Maudite cloppe qui emporta si tôt le glacial Collins, alors que d'autres deviennent centenaires sans avoir plus grand chose à dire... Glacial des cordes bien entendu... Encore une preuve par cet album, avec des rythmes limites funk, des choeurs bien placés... tout bon
Jérôme Mad Man (Nov 2002)
Enfin d’la musique de pur, d’la vrai musique de nèg... Pardon de couleur! Quel groove, quelle candeur. Un vrai appel à l’esprit rédempteur d’un dieu propre, sans préjugés raciaux, une unité autour du seigneur de "Blues" vêtue. I’m beginning to wonder préfigure une sainte envie de "condom’s attitude", sensuelle et attirante comme un appel à un perpétuel printemps. Le jeu basse batterie est tel un fougueux élan entre deux amants éperdus (une super boom, entre chèvre et loup, pour ex légionnaires de sexes inconnus et vice versa).
La seule voix de Mister Albert Collins est un argument qui réfute une soit disant infériorité afro-américaine prônée par les crânes mous et pointus du Ku Klux Klan. Le jeu de guitare est sûrement un vrai casse tête pour les éditeurs de partitions et autres marchands de riffs qui n’ont pas encore réussis à simplement dire à leurs acheteurs, "écoutez et priez".
Le génie est là, le génie de la spontanéité. Adorez la sainte Télécaster et soyez illuminés par le divin capocastre, nouveaux instruments d’une passion bluesy. Amis de l’harmonie classique pleurez car dieu, s’il s’appelle Albert, a certainement loupé des cours de solfège mais... oups!

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1992 Molten Ice Albert Collins    
   

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1993   Il participe à deux titres sur Wake Up Call de John Mayall.
Pascal
Lob (2002)
Une intervention très réussie, Lite the Fuse et l'un des meilleurs titres de l'album.

John Mayall Wake up call.jpg (4253 octets)

Chargé jusque fin 1993, son programme de tournées inclut notamment sa présence aux côtés d’Eric Clapton au Royal Albert Hall, à Londres. Il ne s'y rendra pas, le 24 novembre il décède d'un cancer.

1993 Collins Mix  Albert Collins    

Albert Collins Collins Mix.jpg (4770 octets)

Albert Collins guitare chant
Johnny B Gayden basse.
Marty Binder batterie.
Coco Montoya guitare
Mickael Toles
guitare
Niko Lyras guitare.
Ernest Willianson clavier.
Steve Howard trompette
Wayne Jackson trompette.
Jon Smith sax
Branford Marsals
sax
Andrew Love
sax
Jeff Robbins sax
Kim Wilson
Gary Moore

BB King
Pascal Lob (2002)
Cet excellente galette parait à titre posthume. Avec des versions de Honey Hush de Fulson, If you love me like you say de Taylor ou encore Frosty qui valent le détour.
A avoir.

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1994   Il apparait sur un titre de la galette Gotta Mind To Travel de Coco MontoyaIl avait du enregistrer avant !
Pascal
Lob (2002)
Rien d'exceptionnel ni dans la galette ni dans l'intervention d'Albert.

Coco_Montoya_Gotta_Mind_To_Travel.jpg (4484 octets)

1995 Live ‘92/’93 Albert Collins    

Albert Collins Live 92 93.jpg (4939 octets)

Albert Collins guitare chant
Johnny B Gayden basse
Marty Binder batterie
Boddy Alexis l'orgue
Pete Thoennes guitare
Jeff Robbins sax
Steve Howard trompette
Pascal (2002)
Cet enregistrement provient de deux concerts différents de la dernière tournée de l’Iceman et de ses Icebreakers. Les cinq premiers titres ont été enregistrés lors de l’édition 1992 du Festival de Montreux, alors que la seconde moitié de la galette l’a été en 1993, à Peoria (Illinois), lors de l’un de ses derniers concerts.
Une galette de très très haute tenue.
A emporter sur une île déserte.
Lionel (juillet 2002)
On touche là à la magie... Le grand Albert retrousse ses manche et arrose comme un fou. C'est un Live de référence, d'une émotion, d'une énergie, d'une qualité rare. Une pièce d'orfèvrerie.
A posséder absolument.

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Parmi les évènements qui ont marqué les dernières années de la carrière d'Albert Collins figurent ses prestations au Live Aid et au Carnegie Hall, ainsi que ses participations aux disques de nombreux autres artistes ( dont B.B.King  Blues Summit, John Lee Hooker, Gary Moore et Robert Cray).

 

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